Originellement publié sur l’ancien site
Université du printemps des Poètes
Le Printemps des Poètes et les rencontres des poètes et des étudiants.
Il ressort de quelques témoignages de journalistes écrivains et de professeurs de lettres authentiques littéraires que je remercie pour cette reconnaissance qu’ils me disent poète et penseur, ami des poètes et des amis de la vraie poésie.
L’officialisation du Printemps des Poètes a été l’un des pas de géant qui a fait se sceller le destin de tous les amis poètes en permettant à chacun de se détacher des décennies de polémiques toutes préjudiciables pour la culture réelle et de tous les amis de la vraie poésie tous êtres de lumière lecteurs de poésie, au visage connu ou inconnu. D’autres pas de géants sont nécessaires, j’en parle et j’en parlerai sur ce site.
L’Association Pour Les Siècles, je l’ai créée tout en vénérant toutes les associations de poésie parce qu’il n’existait dans aucune autre association de poésie le concept visionnaire de la nouvelle association de poésie que je porte depuis ma jeunesse pour une vie associative intergénérationnelle avec tous les Hommes aimant vivre ainsi tel qu’il a été rédigé dans ses statuts et un manifeste adoptés et mis en oeuvre ; et je ne le regrette pas en raison de la vie chaotique de l’Humanité quelles que soient les contraintes. Elle réunit des auteurs et des lecteurs de poésie en s’adressant surtout à tous les étudiants (qu’ils soient littéraires, scientifiques, économistes, ou autres étudiants) puisqu’elle sa vie a été rêvée dans ma jeunesse, et j’ai découvert depuis qu’elle intéresse les mères qui l’estiment très bien pour leurs enfants d’autant plus qu’elles sont nombreuses à être désemparées pour leur offrir de lire. Ce site a aussi comme utilité de mettre fin à tous les cloisonnements associatifs coupant les étudiants de la société civile de la culture réelle.
Je ne serai pas un écrivain de poésie travaillant la poésie du monde entier si je ne m’adressais pas à tous les étudiants de toutes les universités qui sont internationales. Il ne s’agit pas là d’une première tentative, j’ai aidé dans le passé le poète Jean Van Nostrand à réaliser sa brochure internationale de poésie diffusée à environ 500 exemplaires, il me corrigera s’il me lit et s’il constate une inexactitude ; j’ai participé à quatre printemps des poètes en région parisienne en distribuant à des étudiants fréquentant l’Université PARIS IV à Clignancourt chaque année une brochure de poésie différente :
En 2004 : sur le thème de l’Espoir et de la lumière avec une douzaine de poèmes si mes souvenirs sont exacts
En 2005 : sur le thème du Big Bang avec une longue avec les poèmes assez longs : Premiers Hommes premiers livres, Bariolet ornet, Prince des nuées, La noirité, Chapitre du livre de Toi ; intéressant tant pour les étudiants des universités de sciences que des universités de lettres, dans leur orientation de prédilection.
En 2006 : sur le thème Le chant des villes avec un long poème : Ma chanson des rues et des bois chantant aussi les villes de Hiroshima et de Nagasaki victimes des bombes atomiques.
En 2007 : sur le thème Lettre écologique d’amour avec un long poème : La chanson d’Ulysse.
En 2008, je n’ai pas participé au Printemps des Poètes mais j’ai écrit un poème que j’ai tenu à offrir pour la manifestation Hommage à Jacques Brel Homme de l’année 2008 (Dans l’ouvrage J’ai deux mots à vous rire à Jacques Brel Edition Ville de Cannes).
En 2009, je n’ai pas participé au printemps de Poètes autrement qu’en créant pour une exposition littéraire qui s’est déroulée à Castelfranc dans le Lot, le 14 juillet 2009. A l’heure où j’écris voulant que le Printemps des Poètes deviennent l’Année des Poètes, j’ai écrit un premier long poème sur « le thème du printemps des Poètes de 2010, il faut savoir que ça n’arrête pas le printemps des Poètes officiel puisque chaque poète est libre de créer sur le thème de son choix en participant à cette manifestation qui a fait de tout temps l’Histoire de la Poésie.
En 2008, les journaux télévisés nous ont révélé un important dysfonctionnement du système de l’Education Nationale par ses orientations contradictoires vers ses programmes didactiques qui devraient être corrigées pour son label de qualité en plus d’être réformées, puisque même la culture d’entreprise inclut la correction des erreurs de l’entreprise. Je suis un défenseur des services publics car je sais que leurs apports pourraient être excellent pour la population, je pense que la composition (ni nationalisation ni privatisation) par l’intégration par exemple du principe de correction des erreurs, serait meilleure que la privatisation. Je pense que ceux qui ont dit et écrit que l’Education Nationale est impossible à bien réformer ont raison, mais qu’il est possible de réussir en corrigeant et en réformant simultanément. Je me félicite d’avoir écrit à destination de tous les étudiants de toutes les universités pour participer au printemps des Poètes, même si je n’ai pas pu me rendre dans toutes les universités, étant seul à distribuer mes brochures et ne pouvant ni en tirer plus ni en distribuer plus. Je déplore les orientations contradictoires vers les programmes didactiques notamment parce que les étudiants universitaires poètes participant au printemps des Poètes de la Sorbonne ont participé pour des étudiants ne pouvant pas être qualifiés littéraires. Cette réalité met en exergue que le cloisonnement entre les associations créées dans les universités et les association extramuros comme la mienne est néfaste et contraire à la démocratie puisque David Pujadas a dit que les orientations contradictoires vers les programmes didactiques étaient plus proche de la dictature que de la démocratie, et il a raison : la liberté des uns s’arrête où commence la liberté des autres. Je souhaite que le plus grand nombre d’associations de poésie se réorganisent selon les fondements de la nouvelle association de poésie, notamment parce que c’est en le faisant et en le faisant savoir qu’elles feront tomber les cloisonnements associatifs qui nuisent tant à l’Education Nationale qu’à la Culture Réelle, la culture réelle étant indispensable pour résoudre tous les problèmes de la société, la meilleure preuve est que l’écologie est à son origine une poésie parmi les poésies.
Guy Moreau